En raison de la crise, le prix de l’immobilier Portugal a connu une grande baisse. Acheter un immeuble dans cet État est une vraie opportunité pour les étrangers si le bâtiment est bien situé. En effet, ils peuvent espérer un retour de l’investissement par la pratique d’une location. D’ailleurs, les démarches administratives pour devenir propriétaire du bien ont été simplifiées par le gouvernement.
Investir en immobilier au Portugal : quels avantages ?
Choisir d'acquérir un logement au Portugal est promoteur. Dans cette nation, les gens peuvent se procurer une maison pour moins de 100 000 euros à cause de l'impact de la crise immobilière. Par contre dans la ville de Paris, cette somme ne permet même pas d'obtenir un studio.
Cette acquisition peut devenir lucrative pour les particuliers. Puisque Portugal est une ville touristique, ils peuvent louer leur habitation ou le transformer en magasin. Toutefois, il est recommandé de choisir le bien en fonction de sa notoriété et de sa situation géographique. Par exemple : Lisbonne attire chaque année des milliers de touristes. L’achat d’un appartement dans cette zone peut être rentable si le propriétaire le loue à des vacanciers ou des locaux.
Pour ceux qui rêvent de posséder une demeure en bord de mer, ils devraient opter pour Algarve. Cette partie du pays renferme de nombreuses maisons magnifiques. En effet, les hommes des affaires espèrent profiter de la popularité de cette région sur le plan touristique et ont édifié de multiples résidences de luxe.
Procédures à suivre pour acheter un immeuble au Portugal
Investir en immobilier au Portugal est réglementé par l’autorité administrative pour éviter des conflits juridiques. Tout d’abord, le particulier doit engager une agence immobilière, telle que immobilier-portugal.net. Cet agent va l’aider pour la visite des logements. De plus, il peut renseigner l’acquéreur sur la particularité du quartier choisi.
Quand l’individu a trouvé la maison de ses rêves, il doit obtenir un numéro d’identification fiscale auprès du service de l’impôt. Cette démarche accomplie, l’acheteur et le vendeur peuvent passer à la rédaction du compromis d’achat — vente. Ce document doit comporter le prix de l’habitation convenu et la date de signature de l’acte final. De plus, l’acquéreur est tenu de payer d’avance 10% du tarif total de la résidence.
Avant de signer la promesse pour l’achat, le particulier doit avoir en sa possession le certificat d’enregistrement de propriété au cadastre, la certification d’identification fiscale du bien et la licence d’utilisation de l’immeuble.
Et enfin, l’acte final doit être conclu en présence d’un avocat ou de notaire. Cet homme de loi vérifie si le document est conforme à la législation foncière en vigueur dans le pays, pour éviter des différends juridiques.